lundi 11 mai 2015

11 - N'oublier jamais

Auteur : Michel Bussi
Éditeur : Pocket
Publié en : 2015

Grâce à Babelio, j'aurai très bientôt la chance de rencontrer Michel Bussi. Deux de ses livres m'ont été envoyés pour l'occasion, N'oublier jamais et Maman a tort. On m'avait déjà vivement conseillé de lire son Nymphéas noir, mais je n'ai encore jamais eu l'occasion de me plonger dans l'un des romans de l'auteur. C'est maintenant chose faite...

Jamal est un jeune arabe du 9-3, unijambiste mais très sportif grâce à sa prothèse qui lui permet de courir. Jamal est en vacances à Yport lorsqu'il croise au hasard de son jogging quotidien une jeune fille en haut d'une falaise, en pleurs, visiblement terrifiée et vêtue d'une robe déchirée. Il utilise alors une écharpe rouge trouvée sur le chemin un peu plus tôt pour essayer de la ramener en lieu sûr, mais la jeune fille ne le suit pas et se jette de la falaise. Jamal retrouve très rapidement son cadavre au pied de la falaise, l'écharpe étrangement enroulée autour du cou. Et c'est là que les ennuis commencent...

On s'en pose des questions, dans ce roman de Michel Bussi. On se triture les méninges pour essayer de comprendre le pourquoi du comment de cette histoire totalement folle. En ce qui me concerne, je n'avais rien deviné du dénouement final, la surprise a été totale et c'est un bon point pour ce roman, même si j'ai trouvé que l'intrigue est vraiment tirée par les cheveux. Le suspense est tout de même bien présent, et malgré quelques longueurs j'ai bien aimé.

Allez, trêve de bavardage, je me plonge tout de suite dans Maman a tort !


Leur mariage fut programmé pour le 2 octobre 2004. Le cadavre de Myrtille portait à l'annulaire sa bague de fiançailles.
Il y aurait eu beaucoup de monde au mariage de Myrtille.
Beaucoup, mais peut-être pas autant qu'il y en eut à son enterrement.  

J'ai cherché à me rappeler son vrai nom, celui qu'il avait donné aux flics le matin. Ça m'est revenu au bout de quelques minutes. Un nom à se foutre une balle pour un type qui avait sacrément l'air victime du système. Le Medef. Christian Le Medef. 

Une vieille dame tenait au bout d'une laisse interminable un petit chien ridicule, genre modèle qui fonctionnerait avec une télécommande et des piles, prétentieux au point d'insulter les mouettes à coups de jappements hystériques. 

 

2 commentaires:

  1. J'attends que tu lises l'autre et que tu me dises lequel est le meilleur :p

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    1. J'espère que l'autre est mieux, celui-là m'a intriguée, mais ne m'a pas vraiment transportée :)

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