mardi 26 août 2014

37 - Le protectorat de l'ombrelle T3 - Sans honte

Auteur : Gail Carriger
Éditeur : Orbit
Publié en : 2012

Impossible de terminer le tome 2 de la série du Protectorat de l'ombrelle sans enchaîner directement avec la suite. Après Sans forme, me voici donc plongée dans Sans honte...

Dans ce tome, c'est accompagnée de son amie française, l'inventrice Geneviève Lefoux, et de Floote, l'énigmatique mais si diablement efficace valet de feu son père, qu'Alexia se rend en Italie afin d'y rencontrer les Templiers et d'y trouver les réponses au "problème" révélé à la fin du tome précédent. Encore une fois, les dangers seront nombreux, les tentatives d'assassinat également, sans compter les fautes de goût de ce peuple latin barbare que sont les Italiens... Ah, Alexia a quitté le chic et les bonnes manières londonniennes, ça c'est sûr. Mais, heureusement pour elle, en Italie, il y a le pesto !

Sans grande surprise, et pour mon plus grand bonheur bien entendu, ce troisième tome se place en ligne directe de ses prédécesseurs. De l'aventure, de l'humour "so British", des inventions surprenantes dans un monde plein de surprises. On en apprend également un peu plus sur les paranormaux dans ce tome, chose intéressante car ces êtres sans âme sont tellement énigmatiques... Le protectorat de l'ombrelle est une série vraiment addictive, dont les pages se tournent toutes seules et remplissent parfaitement l'unique rôle qu'on attend d'elles : la distraction !

À suivre donc très bientôt avec la suite, Sans cœur !


« Elle était un peu comme un navet, ma femme. »
Alexia décida d’être un peu amusée par son absence de sentiments. « Un navet ? Que voulez-vous dire ? »
L’horloger sourit à nouveau. Il était clair qu’il espérait qu’on lui pose cette question. « Insipide, bon en accompagnement, mais vraiment mangeable uniquement quand il n’y a rien de mieux à se mettre sous la dent.   


La plus grande loi non écrite des êtres surnaturels était que l’on ne volait pas les humains des autres, tout simplement.

"Je me suis rappelé cette horrible chose que j'avais entendu sur l'Italie." Ivy, submergée par un excès d'émotion, se tamponna le coin de l'oeil avec son mouchoir. "Ce que j'ai entendu... Oh, je peux à peine en parler... J'ai entendu dire qu'en Italie ils boivent... (elle s'interrompit) du café." Elle frémit délicatement. "C'est si abominablement mauvais pour l'estomac." Elle serra la main d'Alexia avec ferveur dans les siennes, avec le mouchoir humide. "Bonne chance."

  

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