Auteur : Michael Moorcock
Éditeur : Pocket
Publié en : 2013
Cette Intégrale 1 regroupe les 3 premiers tomes du Cycle d'Elric : Elric des dragons, La Forteresse de la perle et Le Navigateur sur les Mers du Destin.
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On m'a beaucoup parlé de Michael Moorcock et de son Cycle d'Elric avant que je me lance enfin dans cette lecture. En bien, bien entendu, mais avec parfois quelques réserves sur l'écriture, qui peut être assez difficile par moments. Et bien, je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres lecteurs, mais pour ma part j'ai dévoré ces trois premiers tomes du début à la fin. J'ai été captivée, intriguée, passionnée par l'histoire de cet empereur albinos, descendant d'un peuple cruel et décadent, physiquement faible, drogué mais tout de même puissant.
Elric est un personnage des plus charismatiques auquel on ne peut que s'attacher. Son empire, Melniboné, les différentes contrées qu'il parcourt, ses aventures, son amour pour Cymoril, son combat contre ses propres faiblesses et contre son héritage, son pacte avec les Seigneurs du Chaos ou encore les Élémentaires... L'imagination qui ressort de ces trois premiers tomes m'a souvent laissée admirative et sans voix. Tout cet univers, toute cette magie, m'ont totalement charmée, envoûtée, et j'en redemande !
Alors à très bientôt pour la suite.
Stormbringer avait besoin de se battre, c’était sa raison de vivre. Elle avait besoin de tuer, c’était son souffle de vie. Elle avait besoin de la vie et de l’âme des hommes, des démons et même des dieux.
Elric est un personnage des plus charismatiques auquel on ne peut que s'attacher. Son empire, Melniboné, les différentes contrées qu'il parcourt, ses aventures, son amour pour Cymoril, son combat contre ses propres faiblesses et contre son héritage, son pacte avec les Seigneurs du Chaos ou encore les Élémentaires... L'imagination qui ressort de ces trois premiers tomes m'a souvent laissée admirative et sans voix. Tout cet univers, toute cette magie, m'ont totalement charmée, envoûtée, et j'en redemande !
Alors à très bientôt pour la suite.
Stormbringer avait besoin de se battre, c’était sa raison de vivre. Elle avait besoin de tuer, c’était son souffle de vie. Elle avait besoin de la vie et de l’âme des hommes, des démons et même des dieux.