Auteur : Robin Hobb
Éditeur : Pygmalion
Publié en : 2011
Robin Hobb fait partie de ces auteurs qui m'ont accompagnée au cours des années, que je prends toujours plaisir à (re)découvrir, et dont je ne me lasse jamais. Je sais lorsque j'ouvre l'un de ses ouvrages que je vais passer un bon moment, et ces deux tomes des Cités des Anciens ne dérogent pas à la règle.
Dans cet univers que l'auteur a créé pour ses sagas de L'Assassin Royal et des Aventuriers de la mer, cet univers qu'on connaît si bien qu'on s'y sent comme chez soi, nous suivons ici l'histoire initiée dans les deux précédents tomes de cette saga. Les dragons, après avoir difficilement éclos de leurs cocons, et survécu tant bien que mal grâce à l'aide forcée des humains, remontent le fleuve du Désert des Pluies, à la recherche de cette cité disparue qui hante leurs souvenirs : Kelsingra. Accompagnés de quelques gardiens rejetés par la société, de chasseurs qui doivent assurer leur subsistance, et de la vivenef Mataf, c'est un périple sans fin, dangereux, et au but incertain, qui nous est ici conté.
Je n'en dis pas plus, de peur de gâcher le plaisir de ceux qui n'ont pas encore lu cette partie de l'histoire. Sachez seulement que, encore une fois, j'ai été enchantée de retrouver Alise, Thymara, Sintara et bien d'autres, de les voir évoluer et avancer dans leur quête de l'impossible, mais également dans leur quête d'eux-mêmes. Pour mon plus grand bonheur, il me reste heureusement encore quelques tomes à savourer avant de terminer Les Cités des Anciens !
"Et, si des hommes peuvent créer des règles, d'autres peuvent les changer ; nous pouvons les changer. Ce n'est pas parce que "ça a toujours été ainsi" que nous devons nous soumettre à la tradition ; nous pouvons nous en libérer si nous en avons le courage."
"Après tout, les humains n'étaient que des humains, avec un intellect limité par leur brève espérance de vie."
"Elle avait entendu parler de collines, et même de montagnes, et elle croyait s'en être fait une représentation exacte, mais voir le sol s'entasser sur lui-même pour escalader le ciel dépassait presque son entendement."
"Après tout, les humains n'étaient que des humains, avec un intellect limité par leur brève espérance de vie."
"Elle avait entendu parler de collines, et même de montagnes, et elle croyait s'en être fait une représentation exacte, mais voir le sol s'entasser sur lui-même pour escalader le ciel dépassait presque son entendement."
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